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L'auteur analyse les effets de la modernisation aveugle, la "barbarie douce", sur les rapports sociaux dans deux milieux : l'entreprise et l'école. Dans la première partie, il étudie des outils de management et d'analyse des compétences significatifs de la manipulation des salariés, de la déshumanisation du travail et l'évaluation de plus en plus précoce des enfants. Il s'intéresse également aux discours sur l'autonomie et la responsabilité, sur l'élaboration d'objectifs et de "contrats" individualisés. Dans la deuxième partie, il cherche à écrire l'histoire cette barbarie douce, en étudiant ses origines culturelles (l'héritage de Mai 68), ses relations avec la gauche moderniste française et avec le libéralisme économique.
L'auteur analyse les effets de la modernisation aveugle, la "barbarie douce", sur les rapports sociaux dans deux milieux : l'entreprise et l'école. Dans la première partie, il étudie des outils de management et d'analyse des compétences significatifs de la manipulation des salariés, de la déshumanisation du travail et l'évaluation de plus en plus précoce des enfants. Il s'intéresse également aux discours sur l'autonomie et la responsabilité, sur ...
Cote : 316.4(44)Leg 2003
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