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Ce rapport tente de répondre à la question : quels éléments de la culture québécoise doit-on proposer à un nouvel arrivant et grâce auxquels il pourra comprendre la société qui l'accueille et amorcer son intégration : immigration, intégration linguistique, espace montréalais : Mont-Royal, métro, périphérie, Saint-Laurent, l'île de Montréal, région métropolitaine, portrait socio-démographique, dimensions ethniques et socioéconomiques, espaces habitables, quartier, les services d'alimentation, restauration, publics, financiers, santé, éducation, médias, recherche d'emploi, savoir, création, municipal, régional, le fleuve, Saguenay, territoire, modes de vie, Québec, Outaouais, Estrie, province, histoire, tradition, identités, question nationale, citoyenneté.

Après un exposé du contexte administratif et réglementaire de l'immigration au Québec, dans lequel on présente les diverses catégories d'immigrants, les travailleurs temporaires, l'immigration économique, immigration familiale et humanitaire ainsi qu'un portrait des caractéristiques des immigrants en 1986, vient la question à savoir quel sont les effets de l'immigration sur le marché du travail. Par la suite, on présente les difficultés vécues par les immigrants et les immigrantes sur le marché du travail.

Document qui présente la méthodologie et les résultats obtenus dans le cadre d'une enquête sommaire menée auprès de vingt-deux individus de neuf communautés culturelles différentes et dont les objectifs étaient: établir, par des entrevues, le portrait des nouveaux élèves membres des communautés culturelles à l'éducation des adultes; obtenir des informations sur le processus d'apprentissage et les particularités du système d'éducation dans leur pays d'origine; retenir les éléments qui pourraient améliorer notre système scolaire et permettre une meilleure adaptation et intégration des membres des communautés culturelles.

Ouvrage qui tente de donner aux intervenants et aux intervantes des champs social, médical et éducatif les outils pour comprendre et analyser de nombreuses situations déroutantes avec les immigrants et les immigrantes et ainsi faciliter le dialogue et trouver des solutions efficaces. On y trouve deux parties. La première est consacrée à une série de réflexions sur l'impact, les possibilités et l'opportunité des changements culturels chez les personnes. La seconde présente quelques notions élémentaires qui reviennent fréquemment dans le vocabulaire et qui représentent selon chacun une réalité plus ou moins différente.

Le document traite de la «Grande Rencontre», nom donné à un colloque tenu à Québec les 9 et 10 mai 1985 par les membres de la RGPAQ. Le cahier est élaboré à partir des nombreux ateliers préparés pour l'événement. On y trouve notamment une bande dessinée, la liste complète des groupes invités, des exercices de grammaires, des jeux et un photoroman. Il contient également un texte sur les immigrants haïtiens, ainsi qu'un texte en créole pour les participants et participantes des groupes haïtiens. (Tiré de la p. 5)

Lancée dans le contexte d'un renforcement des politiques d'intégration des populations étrangère et d'origine étrangère sur le territoire wallon, cette recherche-action s'intéresse plus spécifiquement à la part de ce public qui est infrascolarisée et qui est en besoin d'alphabétisation davantage que d'une formation linguistique de type «français langue étrangère». La recherche-action a pour objectif d'identifier et d'analyser l'impact des actions d'alphabétisation auprès des publics «personnes étrangères et d'origine étrangère».

Dans ce document, les auteurs explorent les implications d'une étude dans les grandes villes du Canada, qui a révélé de grands écarts de résultats entre les sous-groupes d'élèves dont l'anglais est la langue seconde (ALS).
Les résultats font ressortir plusieurs éléments. Premièrement, la subdivision des données est nécessaire à une prise de décisions éclairées. Par exemple, en Colombie-Britannique, le taux d'obtention de diplôme est plus élevé chez les élèves de langue chinoise que chez les autochtones ou autres groupes linguistiques. Toutefois, ce taux chez les populations de langue espagnole est nettement plus faible.
Ces résultats, aussi reflétés dans les études menées à Toronto et à Montréal, soulignent la nécessité de regarder au-delà des étiquettes comme «ALS» et «élèves immigrants» pour observer des écarts dans les résultats des élèves ainsi qualifiés.
Deuxièmement, les ressources limitées consacrées aux élèves ALS devraient cibler les groupes avec les besoins les plus urgents. Troisièmement, l'aide à l'acquisition d'une langue seconde pourrait être jumelée au soutien dans d'autres matières.
Quatrièmement, les enseignants ont besoin d'un perfectionnement professionnel adéquat pour répondre aux besoins des élèves dont l'anglais n'est pas la langue maternelle. Enfin, il serait possible d'assurer une meilleure équité entre les élèves anglophones et ALS, en donnant à ces derniers plus de temps pour obtenir leur diplôme.