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BV Ref - Périodiques en éducation des adultes  | enregistrements trouvés : 23

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L'effort que nous investissons dans Internet rend accessible plus de connaissances, d'outils et de ressources pour apprendre qu'on aurait pu en rêver il n'y a pas 30 ans. Cette abondance nous amène à réviser nos façons d'enseigner et à s'attarder un peu plus attentivement à celles que nous utilisons pour apprendre. Apprendre à la même vitesse, les mêmes choses pour les mêmes usages et pour les mêmes raisons est un mythe sur le point d'être enterré. L'apprentissage est lié à un contexte et c'est par ce contexte que l'individu détermine le sens de l'apprentissage pour lui. Apprendre est inné; jouer, discuter, s'intéresser, chercher une définition, tracer des tableaux, monter des modèles, écrire, photographier, dessiner, filmer... l'étendue des possibilités n'est limitée par rien d'autre que notre acceptation de limites. Et c'est justement à des moyens de franchir ces limites que nous vous invitons dans cette édition. Vous y trouverez de quoi équiper les apprenants avec des méthodes, des exemples, des stratégies, des scénarios, des contextes, etc. Vous y lirez aussi que la méditation apporte des gains, tout comme la musique et les journaux, mais pas Facebook aux 10 minutes; que l'on peut mieux apprendre - dans un mooc qui encourage les interactions, - avec des jeux en médecine et - que l'on peut aussi aider à la maturation des jeux des enfants et obtenir des bénéfices importants pour toute leur vie. On peut encore aider les étudiants à devenir stratégiques et à appliquer des techniques simples comme l'apprentissage par définitions, encourager la créativité, le questionnement, l'éclectisme et bien d'autres idées... -- Tiré du doc.
L'effort que nous investissons dans Internet rend accessible plus de connaissances, d'outils et de ressources pour apprendre qu'on aurait pu en rêver il n'y a pas 30 ans. Cette abondance nous amène à réviser nos façons d'enseigner et à s'attarder un peu plus attentivement à celles que nous utilisons pour apprendre. Apprendre à la même vitesse, les mêmes choses pour les mêmes usages et pour les mêmes raisons est un mythe sur le point d'être ...

Source : Thot Cursus dossier, no 115 (2013)

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Peut-être avez-vous entendu parler dernièrement de la fameuse dynamique de « classe inversée »? Elle semble être sur toutes les lèvres! Parmi les enseignants qui l'ont expérimentée, certains ne peuvent plus s'en passer et y voient des avantages énormes, notamment grâce aux nouvelles possibilités de personnalisation de l'enseignement entraînée par l'augmentation du temps disponible pour les élèves. Mais tout d'abord, qu'est-ce que la classe inversée? C'est une façon d'organiser le temps de classe de sorte que la partie magistrale du cours est dispensée de façon électronique (capsules vidéo, lectures personnelles, visites virtuelles, etc.) et le temps de classe est consacré au travail d'équipe, aux discussions et aux activités d'apprentissage actives. Ce dossier conjoint de Carrefour Éducation et d'Infobourg propose de faire le tour de la question et de prendre connaissance de l'expérience de certains enseignants. - Tiré du doc.
Peut-être avez-vous entendu parler dernièrement de la fameuse dynamique de « classe inversée »? Elle semble être sur toutes les lèvres! Parmi les enseignants qui l'ont expérimentée, certains ne peuvent plus s'en passer et y voient des avantages énormes, notamment grâce aux nouvelles possibilités de personnalisation de l'enseignement entraînée par l'augmentation du temps disponible pour les élèves. Mais tout d'abord, qu'est-ce que la classe ...

Source : École branchée, (9 mai 2013)

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Source : Éducation des adultes et développement, no 70 (2008)

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Source : Éducation des adultes et développement, no 67 (2006)

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Source : Éducation des adultes et développement, no 67 (2006)

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Le diplôme apparaît toujours comme un rempart contre le chômage. Mais tous les diplômes ne se valent pas. Entre les diplômés qui chôment des années entières avant de prendre un emploi peu adapté à leurs compétences, et ceux qui sortent de cursus prestigieux et prisés des entreprises, le fossé est considérable. Les premiers doivent alors se poser honnêtement la question : une expérience significative du travail ne vaut-elle pas mieux qu'un diplôme impossible à monnayer ? Il n'est pas rare en effet que les milieux professionnels préfèrent juger sur pièce plutôt que sur titre, des compétences de leurs collaborateurs actuels et futurs. On peut être un excellent professionnel et avoir tout appris sur le tas. On peut aussi valoriser les compétences acquises dans une branche parfois éloignée de celle à laquelle on prétend, mais qui a malgré tout permis de développer des habiletés transversales précieuses. Parmi ces compétences transversales, le fait de savoir lire et écrire est essentielle. Jusqu'à une époque récente, les travailleurs éprouvant des dfifficultés à manier leur langue pouvaient déléguer les tâches de rédaction à leurs collaborateurs. Aujourd'hui, dans une société numérique qui a remis l'écrit au premier plan, ils doivent acquérir de l'autonomie. Apprendre et réapprendre sans cesse, faire évoluer sa formation initiale avec de la formation continue, gagner en expérience, le faire savoir et le mettre en pratique : le monde du travail est un terrain d'aventure individuel et collectif qui n'a pas fini de nous surprendre. - Tiré de doc.
Le diplôme apparaît toujours comme un rempart contre le chômage. Mais tous les diplômes ne se valent pas. Entre les diplômés qui chôment des années entières avant de prendre un emploi peu adapté à leurs compétences, et ceux qui sortent de cursus prestigieux et prisés des entreprises, le fossé est considérable. Les premiers doivent alors se poser honnêtement la question : une expérience significative du travail ne vaut-elle pas mieux qu'un ...

Source : Thot Cursus dossier, no 118 (2013)

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Depuis que les Moocs sont arrivés sur la scène éducative internationale voici moins de deux ans, la formation à distance a acquis une superbe qui lui faisait défaut jusque là. Les professionnels en ce domaine se battent en effet depuis quinze ans pour faire reconnaître leur expertise. Leur heure semble enfin arrivée, alors que les plus prestigieux établissements d'enseignement s'apprêtent à déverser sur le monde entier leurs cours en ligne animés par leurs plus brillants enseignants. Mais la scène est en réalité un peu moins idyllique : les professionnels de la formation en ligne ont jusqu'à présent été peu associés à la conception et à l'animation des Moocs. Ceci risque de changer rapidement, dès lors que les universités virtuelles telles que l'Open University se lancent elles aussi dans la bataille des Moocs. Nul doute que le savoir-faire de ce prestigieux acteur va faire monter le niveau de qualité exigé de tous. Par ailleurs, à l'écart de l'agitation liée aux Moocs, la formation en ligne continue d'explorer de nouveaux territoires. Les hybridations sont de plus en plus nombreuses; elles passent par l'inventivité des enseignants qui n'hésitent pas à créer leurs propres applications numériques. La FAD touche désormais des domaines très pratiques et aussi divers que l'agriculture ou la pratique du chant, comme vous le constaterez dans ce dossier. Pourtant, les critiques à l'encontre de la FAD ressurgissent dès que l"occasion se présente. Il a ainsi suffit qu'une récente étude réalisée aux Etats-Unis montre que le taux d'abandon était légèrement supérieur dans les cours en ligne que dans les cours en présence pour que certains n'hésitent pas à affirmer que la FAD vivait ses dernières heures. D'autres heureusement ont souligné à quel point l'accompagnement des étudiants d'une part, la qualité des parcours de formation proposés d'autre part, peuvent faire la différence et emporter l'adhésion des apprenants les plus en difficulté. Cette semaine, nous explorons donc les nouveaux horizons de la formation à distance. Pratiques pédagogiques, théories de l'apprentissage, organisation de la formation, exploration de nouveaux domaines : la FAD se porte mieux que jamais, et il faut le faire savoir.
Depuis que les Moocs sont arrivés sur la scène éducative internationale voici moins de deux ans, la formation à distance a acquis une superbe qui lui faisait défaut jusque là. Les professionnels en ce domaine se battent en effet depuis quinze ans pour faire reconnaître leur expertise. Leur heure semble enfin arrivée, alors que les plus prestigieux établissements d'enseignement s'apprêtent à déverser sur le monde entier leurs cours en ligne ...

Source : Thot Cursus bulletin, no 347 (2013)

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Certaines activités familiales pratiquées en bas âge joueraient un rôle dans les habitudes de lecture des enfants. C'est, entre autres, ce qui ressort d'une analyse réalisée par Gilles Pronovost, professeur émérite à l'Université du Québec à Trois-Rivières, à partir de statistiques provenant de l'Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ELDEQ). Une pratique d'initiation à la lecture consiste à lire des livres à l'enfant lorsqu'il est en bas âge. Entre les âges de 2 ans et 6 ans, environ sept enfants sur dix au Québec se font faire la lecture de façon régulière par leurs parents. L'analyse des données de l'ELDEQ révèle qu'une variable qui différencie les enfants en matière d'initiation parentale à la lecture est le fait que la mère pratique la lecture pour elle-même. Ainsi, de l'âge de 29 mois à l'âge de 6 ans, les enfants ayant une mère lectrice sont proportionnellement plus nombreux à se faire faire la lecture régulièrement par leurs parents que les enfants dont la mère n'est pas une lectrice. Les enfants ayant une mère lectrice sont aussi plus nombreux à « lire par plaisir » lorsqu'ils sont plus âgés. L'auteur constate aussi que l'intérêt pour la lecture semble plus répandu chez les filles : à 8 ans, la portion des enfants québécois pratiquant quotidiennement la lecture par plaisir est nettement plus élevée chez les filles (52 %) que chez les garçons (33 %). Le degré d'accompagnement parental à la lecture est un des facteurs associés à cette différence d'intérêt. Les données provenant de l'ELDEQ montrent en effet qu'à 4 ans et à 6 ans, les filles sont proportionnellement plus nombreuses que les garçons à se faire faire la lecture et à se faire apprendre à lire par leurs parents sur une base quotidienne.
Certaines activités familiales pratiquées en bas âge joueraient un rôle dans les habitudes de lecture des enfants. C'est, entre autres, ce qui ressort d'une analyse réalisée par Gilles Pronovost, professeur émérite à l'Université du Québec à Trois-Rivières, à partir de statistiques provenant de l'Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ELDEQ). Une pratique d'initiation à la lecture consiste à lire des livres à l'enfant ...

Source : Optique culture, no 26 (juillet 2013)

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